Square Planchon

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Square Planchon
Image illustrative de l’article Square Planchon
L'îlot moussu du square Planchon.
Situation
Coordonnées 43° 36′ 20″ nord, 3° 52′ 48″ est
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Ville Montpellier
Quartier(s) Gare.
Début 3 Place Auguste Gibert.
Fin
Morphologie
Type Square
Forme Triangulaire
Superficie 4 170 m2
Histoire
Création 1858
Anciens noms
  • Square du chemin de fer (1858-1910)
  • Square de l'embarcadère (1876)
  • Square de la gare PLM (1933)
Monuments
Géolocalisation sur la carte : Montpellier
(Voir situation sur carte : Montpellier)
Square Planchon
Géolocalisation sur la carte : Hérault
(Voir situation sur carte : Hérault)
Square Planchon
Géolocalisation sur la carte : Languedoc-Roussillon
(Voir situation sur carte : Languedoc-Roussillon)
Square Planchon
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(Voir situation sur carte : France)
Square Planchon
Site web Mairie de Montpellier

Le square Planchon est un jardin public de Montpellier, qui orne la place devant la gare de Montpellier depuis 1858. Il est baptisé en 1910 en hommage à Jules Émile Planchon qui aida à la renaissance de la viticulture française après l'épidémie de phylloxéra. On y trouve un bassin surplombé d'un champignon de mousse (îlot moussu) ainsi qu'une aire de jeux. De nombreux bancs permettent de profiter du cœur de ville à l'ombre de ses arbres.

Arboretum allochtone, il est la réalisation des frères paysagistes Bühler pour illustrer les villes qui ont participé directement à l'épopée du comptoir des Indes (comme Paris, Bordeaux, Nantes, Toulon et Montpellier).

Situation et accès[modifier | modifier le code]

Le square Planchon est un triangle dont la pointe « nord » donne sur la rue Pagézy et la rue Maguelone, reliant la gare ferroviaire à la place de la Comédie et le centre historique de la ville. La pointe « ouest » aboutit sur la rue Pagézy et la rue de la République, laquelle continue vers les boulevards ceinturant l'Écusson. La rue Pagézy sépare le square des bâtiments du quartier-général des Armées. Au « sud » du square aboutissent les rues de la République et Maguelone sur la Place Auguste-Gibert. Cette dernière, au numéro 3, est l'adresse administrative cadastrale[1] du square Planchon.

Depuis 1858, le square est le premier lieu visitable par le voyageur en train qui sort de la gare par sa façade historique.

Accès

Le square est desservi par les lignes des tramways (M)   1234 ainsi que par les lignes de bus (M)   6781112.
Deux stations de Vélomagg' (M) sont disponibles à droite et à gauche de l'entrée principale de la gare.
De surface plane, le square est entièrement praticable aux personnes à mobilité réduite (M). Une application gratuite permet de valider les déplacements et l'accessibilité aux lieux publics[2].

Origine du nom[modifier | modifier le code]

Il rend honneur au botaniste Jules Émile Planchon (1823-1888).

Historique[modifier | modifier le code]

Historique des lieux[modifier | modifier le code]

Dans un renouvèlement d'acquisition de terrain, c'est en 1632 qu'est allouée à la communauté protestante une concession comprenant les actuelles surfaces devant la gare (Place Auguste Gibert) et du square. Cimetière durant 50 ans, le temple situé dans la rue Maguelone reste le témoin de cette période[3].

C'est dans le cadre d'une politique municipale et d’urbanisation de la ville, mené par le maire Jules Pagézy, que les « Grands Travaux Lazard » (du nom de l’architecte montpelliérain Omer Lazard) sont réalisés pour la création de la rue Maguelone. Ainsi, cette nouvelle rue est installée sur l'ancienne rue des Cordeliers, (qui devient aussi la rue de la Maréchaussée) qui allait à l'ancien Couvent des Cordeliers, sur l'actuel Square Planchon[4].

La gare du chemin de fer de Nîmes (ancien nom de la gare actuelle) a été créée en 1844 et la rue de Maguelone a été ouverte en 1846. Sa percée a commencé en 1843 à partir de la gare. C'est en 1846, qu'elle a atteint la hauteur des rues Clos-René et Joffre. Elle n'a débouché sur la place de la Comédie qu'en 1862[5].

Création[modifier | modifier le code]

Pendant le mandat de Jules Pagézy, le 6 juillet 1857[6], le conseil municipal de Montpellier vote l'achat de terrains situés devant la gare de voyageurs, ouverte en 1844, pour y créer un square entre les rues Maguelone, de la République (ancienne rue Municipale) et Pagézy (ancienne rue du Clos-René). L'achat a lieu la même année que la percée de la rue Maguelone entre la rue du Clos-René à la place de la Comédie[7].

Le square ouvre en 1858. Dessiné par les frères paysagistes Denis et Eugène Bühler, il comprend des arbres exotiques, notamment un ginkgo biloba et un cèdre du Liban. Au centre du jardin triangulaire, un plan d'eau accueille un petit rocher devenu à force du dépôt de calcaire d'un jet d'eau et de la poussée de mousses, un îlot moussu.

En 1890, un architecte-paysagiste montpelliérain, A. Goutès, dessine les plans du « Jardin de la Motte » sur la commune voisine de Mauguio, en s'inspirant des modèles du Square Planchon, du Plateau des poètes à Béziers et du Parc des Buttes-Chaumont à Paris[8].

Situation du Square Planchon en bordure de la Rue Maguelone au début du XXe siècle

En 1910, la municipalité donne le nom de Planchon au « square du chemin de fer ».

La clôture d'origine réalisé par le serrurier Léon Servel mesurait 281,30 mètres. Dans les années 1975-1976, elle est démontée et remplacée. Deux parties ont été réutilisées pour clore le parc Rimbaud au bord du Lez dans le quartier des Aubes et pour orner l'entrée du zoo du Lunaret[6].

Au cours de la seconde moitié du XXe siècle, les rues autour du square Planchon ont été le terminus des lignes urbaines de bus de la Société Montpelliéraine de Transport Urbain (SMTU), puis des stations des lignes de tramways depuis l'an 2000. Durant cette période, l'aménagement de la station Gare Saint-Roch de la première ligne du tramway dans la rue Maguelone a nécessité des modifications de clôture, la surface du square a été réduite.

L'îlot moussu[modifier | modifier le code]

Créé en même temps que le square, ce plan d'eau, de 21 mètres de diamètre, a porté différents noms comme : fontaine moussue, fontaine du moussu, fontaine de Planchon, bassin du square ou encore plan d'eau du square. Lors de sa création, cette petite roche d'une cinquantaine de centimètres s'est enrichie de concrétions de calcaire et de mousse, issue de la végétation environnante, qui au fil du temps, ont donné cet immense agrégat ou choux fleur vert faisant la curiosité de ce square. L'ensemble du fond du bassin a été réalisé avec les pierres de l'ancienne poissonnerie qui se trouvait, jadis, à la place des Halles Castellane qui se situe à côté des places Jean Jaurès et des Martyrs de la résistance.

Ainsi l'on retrouve, dans une liste non exhaustive :

La statue de Jules Émile Planchon[modifier | modifier le code]

Statue de Jules Émile Planchon.

Le projet est élaboré en 1892, sur la base de dessins du sculpteur Auguste Baussan datés du 26 avril 1893. Le coût de réalisation du monument s'élève à 80 000 francs[16] (310 000 €)[17]. Durant cette période, un buste identique[18] semble avoir été livré pour la ville de Ganges à la « Place du jeu de ballon ». L'ensemble du socle est réalisé en pierre de Pompignan (Gard)[19] avec les inscriptions :

« Érigé par souscription sur l'initiative de la Société Centrale d'Agriculture de l'Hérault inauguré le 9 décembre 1894 par M. Viger, Ministre de l'agriculture, M. Vincent, Préfet, Président d'honneur de la Société d'Agriculture, M. Castets, Maire. »

Le monument commémoratif est réalisé en l'honneur du botaniste Jules Émile Planchon (1823-1888) qui a grandement participé à sauver le vignoble français des ravages causés par l'épidémie de phylloxera dont la découverte de l'insecte eu lieu le 15 juillet 1868 à Saint-Martin-de-Crau dans le département des Bouches-du-Rhône, puis les réalisations de greffages sur des pieds de vigne américains plus résistants et adaptés durant les années 1873.

L'ensemble du monument, installé face à l'entrée nord du square, est composé d'un buste en bronze[20] placé au sommet d'un fût de colonne en marbre, en bas duquel un jeune viticulteur tend vers le sauveur une belle grappe de raisins en signe de reconnaissance pour l'abondance viticole retrouvée. On dit que le visage du jeune homme qui a posé en habit de viticulteur n'est autre que le peintre Frédéric Bazille, ami d'Auguste Baussan[21]. Cette thèse est validée par le fait que le père de Frédéric Bazille, Gaston Bazille et Jules Émile Planchon sont voisins au « Mas de Méric »[22] et ont travaillé avec Félix Sahut à la découverte de l'insecte dévastateur.

En 1895, la ville de Bry-sur-Marne (Val-de-Marne) souhaite ériger un monument similaire[23] avec quelques modifications en hommage à Louis-Jacques-Mandé Daguerre[24]. Il a été réalisé par la sculptrice Élisa Bloch.

Durant la guerre, sous le régime de Vichy, la municipalité s'est opposée en vain à la réquisition du buste en bronze pour la récupération du métal[23]. Il est détruit en 1941 et remplacé par un buste en marbre réalisé, sur la base de documents iconographiques, par le sculpteur Paul Guéry[25] en 1951. Ce dernier a été financé par la « Société d'Histoire de la Pharmacie »[26] et la municipalité.

La statue : Le chant rustique[modifier | modifier le code]

Image externe
Photo du modèle du joueur à la flûte de pan, issue du site france3 regions francetvinfo.fr (consulté le 31 mai 2016).
L'Enfant à la flûte de pan.

Aussi nommée « L'Enfant à la flûte de pan », cette statue a été réalisée par le sculpteur montpelliérain Georges Durand (1881-1957) après avoir été distinguée d'une mention honorable au concours Chenavard[27] en 1905. Elle est installée dans le square le 23 avril 1909 par décision municipale[28]. Ancien élève d'Auguste Baussan, le sculpteur a réalisé une esquisse en plâtre à son domicile, au numéro 32 de l'avenue de Toulouse, avant de la présenter au salon parisien. Primée, elle est sculptée à Paris, pour le socle en pierre dure de Roms et pour la statue en pierre de Lens, et retournée à Montpellier le 25 juillet 1908. Mentionnée comme curieuse, elle est décrite comme :

« Une statue d'un garçon nu et manchot jouant de la flûte de pan. A ses pieds et couché un chien pelé à la tête de dinosaure. »

— Montpellier bas les masques - Pierre Macaire[29]

Durant le mois de février 2015, un individu désœuvré saccage et mutile la statue centenaire[30]. La mairie fait réaliser rapidement une restauration pour sauver l'édifice, les cicatrices sont malheureusement irréversibles.

La fontaine de l’Enfant à la rame[modifier | modifier le code]

La fontaine à l’enfant.

Appelée aussi la « Fontaine à l’enfant »[31], elle est l’œuvre du sculpteur Mathurin Moreau. Cette borne fontaine, de 1868, a été réalisée par les Fonderies du Val d'Osne (58 bd Voltaire, Paris). Suivant les lieux, elle est présentée avec ou sans son socle en fonte, celle du square n'en possède pas. Elle est montée sur un bâti en pierre.

Située à gauche de l'entrée principale du square, elle est l'une des six, connue en 2016, restantes dans le monde. Les autres sont réparties comme suit :

.

L'histoire récente nous rapporte que la fontaine situé dans le village de Montaut a été volé dans la nuit du 19 juin 2015[36]. Consternée, la mairie a pris contact avec son homologue de la ville de Foix afin de faire réaliser un moulage[37]. La copie a repris sa place dans son lieu originel au sein de la placette.

La stèle de Valery Larbaud[modifier | modifier le code]

A quelques mètres de la fontaine du moussu, une stèle est érigée, au pied d'un copalme d'Orient (Liquidambar orientalis, (Mill., 1768)), en l'honneur de l'écrivain Valery Larbaud dont le square et la ville de Montpellier ont été ses lieux d'inspiration et de villégiature. L'inauguration de cette stèle a eu lieu le 15 mai 1993[38]. Une pensée du poète est gravée sur le bloc de pierre :

« Il n'est pas très grand ce jardin mais il est beau comme ceux de l'Asie mineure. »

— (Enfantines) Valery Larbaud.

Inventaire botanique[modifier | modifier le code]

« Gleditsia triacanthos (L., 1753) - Épine-du-Christ, févier d'Amérique »
Plaque de description « Gleditsia triacanthos »

L'association de renom « Société d'horticulture et d'histoire naturelle de l'Hérault »[39] (S.H.H.N.H.), dont Jules Émile Planchon en a été le vice-président durant vingt sept années[40], a réalisé durant l'année 2009 un inventaire botanique des lieux[41].

Arbres[modifier | modifier le code]

Arbustes[modifier | modifier le code]

Autres[modifier | modifier le code]

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Document utilisé pour la rédaction de l’article Roland Jolivet (Avec le concours de Bernard Jamme et d'Yvon Courty), Montpellier au passé recomposé, t. 2, Montpellier, chez l'auteur, Imp. Déhan, , 158 p., br, 20 × 25 cm (SUDOC 008091986, présentation en ligne), p. 8-15
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article Pierre Macaire, Autour de la Comédie, Montpellier, Le plein des sens, coll. « Collection Montpellier », , ill., couv. ill., 155, 15 × 21 cm (ISBN 87-90493-50-8, BNF 39157114, lire en ligne), p. 124-132

Références[modifier | modifier le code]

  1. Recherche cadastrale, sur le site cadastre.gouv.fr (consulté le 5 juin 2016)
  2. « Carte d'aide à l'accessibilité », sur le site handimap.org (consulté le 14 juin 2016)
  3. « Les anciens cimetières protestants », sur le site Cimetières de Montpellier (consulté le 6 juin 2016)
  4. Pierre Macaire, Autour de la Comédie, Le plein des sens, (présentation en ligne), p. 124
  5. Pierre Macaire, Autour de la Comédie, Le plein des sens, (présentation en ligne), p. 132
  6. a et b Roland Jolivet, Montpellier au passé recomposé, tome 2, 1991, pages 8-12
  7. Paul Génelot, La Gare de Montpellier à travers le temps, éd. Espace Sud, 1993, pages 186-187.
  8. « Le jardin de la Motte » sur les sites : mauguio-carnon.com et le Comité des Parcs et Jardins de France (C.P.J.F.) (consulté le 16 juin 2016)
  9. Cuges-les-Pins, le patrimoine, sur le site Pays de Bagne et de l'Étoile (consulté le 4 juin 2016)
  10. Le Beausset, la grande fontaine, sur le site visitvar.fr (consulté le 4 juin 2016)
  11. Cogolin, la Fontaine moussue, sur le site petit-patrimoine.com (consulté le 4 juin 2016)
  12. Callian, la Cascade, sur le site Pays de Fayence (consulté le 4 juin 2016)
  13. Saint-Pantaléon-les-Vignes, le « Domaine Urdy », sur le site Patrimoine Rhône-Alpes (consulté le 4 juin 2016)
  14. Barjols, la Fontaine Raynouard, sur le site barjols.fr (consulté le 4 juin 2016)
  15. Montpellier, la petite Fontaine moussue, sur le site ToutMontpellier.fr (consulté le 4 juin 2016)
  16. « Inventaire du patrimoine. Statue : Planchon », sur culture.gouv.fr, (consulté le )
  17. Convertisseur, « franc-euro avec la valeur du pouvoir d'achat », sur Insee.fr, (consulté le )
  18. « Monument commémoratif », sur culture.cr-languedocroussillon.fr (consulté le )
  19. « Carriers et tailleurs de pierres », sur piemont-cevenol.fr (consulté le )
  20. « Statue avec le buste en bronze », par Christophe sur le site cpa34 (consulté le 6 juin 2016)
  21. Roland Jolivet, Montpellier au passé recomposé, tome 2, 1991, pages 12-15
  22. « Domaine de Méric », sur montpellier.fr (consulté le )
  23. a et b « Monument à Jules Planchon », sur e-monumen.net, (consulté le )
  24. « Un monument en l’honneur de Daguerre (1897) », sur bry94.fr (consulté le )
  25. [PDF] « Biographie succincte de Paul Guéry (1898-1977) », sur ACPC (consulté le )
  26. Louis Irissou, La statue de Planchon, vol. 35, Revue d'histoire de la pharmacie (no 118), (présentation en ligne), p. 209-211
  27. « École des Beaux-Arts », sur Assoc. ENSBA-ENSA, (consulté le )
  28. « Inventaire : Le chant rustique », sur culture.gouv.fr, (consulté le )
  29. Pierre Macaire, Montpellier met bas les masques, Montpellier, http://le.plein.des.sens.free.fr Le plein des sens, , 180 p., broché (ISBN 87-91524-10-5, présentation en ligne)
  30. Une œuvre classée mutilée, par C. Agullo, le 22 février 2015 sur le site france3-regions (consulté le 31 mai 2016)
  31. L’Enfant à la Rame à Montpellier, par D. Perchet, le 22 septembre 2010 sur le site e-monumen.net (consulté le 2 juin 2016)
  32. L’Enfant à la Rame à Cerro Santa Lucia, par MarieP, le 14 janvier 2014 sur le site e-monumen.net (consulté le 2 juin 2016)
  33. (en) Antiquaire Eron Johnson Antiques, Ltd. Denver. Colorado. (consulté le 2 juin 2016)
  34. Le Jeune page et l’Enfant à la Rame, par A. Fantelin, le 8 février 2013 sur le site Paris myope (consulté le 2 juin 2016)
  35. L’Enfant à la Rame à Foix, par MarieP, le 26 février 2015 sur e-monumen.net (consulté le 2 juin 2016)
  36. a et b Qui a volé la fontaine Bélardy ?, par C. Labes, le 20 juin 2015 sur le site La République des Pyrénées (consulté le 2 juin 2016)
  37. La statue de l'Enfant à la rame est partie, le 18 avril 2016 sur le site ladepeche.fr (consulté le 3 juin 2016)
  38. Inauguration de la stèle de Valéry Larbaud, sur le site mediatheques.montpellier3m.fr (consulté le 1er juin 2016)
  39. Société d'Horticulture et d'Histoire Naturelle de l'Hérault sur data.bnf.fr (consulté le 29 mai 2016)
  40. [PDF] « Monographies des Présidents », sur shhnh.com (consulté le )
  41. [PDF] « Annales de la S.H.H.N.H. 2010 », sur shhnh.com (consulté le )

Annexes[modifier | modifier le code]

Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]